Het Genootschap der edele delen
(Création 2011-2014)
… Les Confrères approchent avec leur procession en l’honneur de saint Vitus Chryptorchidus, dont ils promènent fièrement les plus précieuses reliques.
Et ils dansent, parce qu’ils peuvent danser, parce qu’ils veulent danser, parce qu’ils doivent danser.
Ils dansent pour exulter la folie de leurs corps et parce qu’ils n’en peuvent plus de rester immobiles.
Ils dansent jusqu’à ce que leur désir ait fécondé ciel et terre.
Ils dansent parce qu’ils sont des hommes, parce qu’ils sont des hommes fiers.
Ils dansent parce que les hommes dansent…
Credits
Choréographie: Jo Heyvaert
Workshops: Clinton Stringer, Samantha Van Wissen, Peter Jasko, Albert Quesada, Mark Lorimer, Eleanor Bauer, Giovanni Casteels.
Costumes: Jo Heyvaert
Merci à Zinnema, Brussel; ccBe, Berchem
Articles de presse
"Au sein d’une foule disparate, émergea soudain la poésie décalée de La Compagnie Des Parties Nobles, une compagnie de danse un peu excentrique composée uniquement d’hommes, de tous âges. Au son de Kol Nidrei de Max Bruch, les danseurs rendirent tangibles leurs rêveries matinales. Une danse conçue comme une installation, qui fit planer la place Saint-Bave quelques instants, pour ensuite poursuivre leur route au rythme d’un tango effréné, rempli de sensualité masculine volontaire. Yeah! Trempé, mais ébouriffant”
(Annemie Peeters, De Standaard, 16 septembre 2013)
"
Dehors, chacun faisait de son mieux pour oublier la grisaille, le crachin et le froid. La Compagnie des Parties Nobles, entre autres, glissa sur la place Saint-Bave tout en dansant, en plaisantant et en rugissant, et amena même Mady Van Mossevelde de Destelbergen à rire. Non, la pluie ne me fait pas peur. Je suis une habituée du festival Odegand, mais uniquement les représentations en plein air. Je joue moi-même au théâtre et me rends régulièrement au spectacle. Ces garçons, je les ai déjà vu jouer deux fois, ils sont vraiment fantastiques."
http://www.nieuwsblad.be/article/detail.aspx?articleid=DMF20130915_00742750
"La Compagnie des Parties Nobles, nous les avons rencontrés sur la place Saint-Bave, mais en fait toute la ville en parlait. Elle se compose exclusivement d’hommes: jeunes et moins jeunes. Ils semblent poursuivre une vision commune: la folie ne fait pas de mal. Ainsi, ça et là, le centre ville s’immobilisa quelques instants pour leurs performances quelque peu folles. Il s’agit certainement de danse contemporaine, mais en combinaison par exemple avec un baby-foot. Une bonne case en moins ou en plus donc, c’est selon!"
Johan Dillen